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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 17:38

 

 

 

messagenationalismeeinstein.jpg

 

Hélas, bien des années après,


aucun vaccin n'évite de tristes épidémies

...

 

clicagranditartnouveau

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 20:06

 

 

 

 

messagepassionperdre.jpg

 

 

Il y a bientôt neuf ans que je m'y perds

ne suis pas sure de m'y retrouver un jour mais est ce si important

de mettre de la raison

là où tout n'est que, par essence,

pure déraison?

clicblanc1-copie-1

 

 


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19 avril 2012 4 19 /04 /avril /2012 20:04

 

 

messageriregibran

 

 

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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 13:54

 

 

 

messageamourtoujoursquitter.jpg

 

 

Nul doute, j'en ai pour l'éternité ! mdr !

 

 

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 21:00

 

 

 

 

http://img.over-blog.com/600x425/4/96/76/82/JANVIER-2012-2/Le-Fils-de-l-autre.jpg

 

Joseph a 17 ans, presque 18, il s’apprête à entrer dans l’armée israélienne pour trois ans de service militaire.

Son père est colonel dans l’armée israélienne, ses parents sont français

Sa mère est psychologue, elle est française et vit avec sa famille en Israël.

 

Seulement voilà, Joseph n’est pas leur fils.

Territoires occupés, 1991, guerre du Golfe, maternité martelée par des tirs, évacuation d’urgence, une couveuse, deux bébés, une erreur, une tragique erreur, un échange, un incroyable échange…

 

Yacine a 17 ans, presque 18, il vit en France où il vient d’obtenir son baccalauréat. Il rentre au pays.

Son père répare des voitures. Il était ingénieur avant d’être enfermé dans son village par l’armée israélienne.

Sa mère est heureuse de revoir son fils de retour au pays.

Son frère déteste les juifs qui entravent sa liberté quotidienne, qui l’enferment dans son village, qui ont pris sa terre.

 

Difficile d’imaginer à partir de cela comment peut s’écrire cette histoire.

Joseph n’est plus juif puisque sa mère n’est pas juive.

Yacine n’est peut-être pas palestinien.

 

Deux mondes se découvrent.

Vont-ils s’affronter ?

 

J’ai beaucoup aimé ce film parce qu’il nous place dans cette réalité qui habite le quotidien des juifs et des Arabes en Israël et en Palestine. On ne sait jamais où cette histoire peut nous mener parce que cette réalité est si lourde à porter, si lourd de déni qu’elle peut déraper à chaque instant.

J’ai beaucoup aimé ce film parce qu’il est profondément humain. Il nous montre qu’au-delà de la guerre, d’une haine quasi institutionnelle, il y a des hommes, il y a des mères dont les cœurs battent, il y a des pères déchirés entre leur conviction, leur amour, il y a des frères et des sœurs ébranlés ou accueillants…

J’ai beaucoup aimé ce film parce que les images sont habillées par une musique délicieuse qui nous promène d’un côté ou de l’autre d’un mur, en temps normal,  quasi infranchissable.

À la fin, j’ai versé une petite larme, et j’ai applaudi, applaudi pour ce que je pense être un message de paix, un retour vers l’entité humaine au-delà des clivages politiques, sociétaux, religieux …

J’avoue avoir été triste de n’avoir été suivie que par deux ou trois personnes…

Vous en tirerez vous-mêmes la conclusion, moi, en y réfléchissant, je n’ai pas envie d’approfondir ce « manque d’enthousiasme ».

 

En tout cas, je vous conseille ce film, il a tout d’un grand…

 Les acteurs sont vrais, beaux, l’histoire pourrait être vraie et compliquée à souhait, la musique est sublime, les images sont belles.

 

 

Sur allociné:

 

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19286806&cfilm=192189.html

 

 

 

 

 

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 19:14

 

 

 

 

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15 avril 2012 7 15 /04 /avril /2012 21:03

 

 

 

http://blog.anticode.fr/wp-content/uploads/2012/03/mince-alors.jpg

 

 

 

 

Mince alors !

Si vous voulez passer un moment de détente, au royaume des « gros », allez y …

Ce film est drôle, ni dans le jugement, ni dans l’apitoiement.

Charlotte de Turckheim en patronne de salon de coiffure de province embourgeoisée est absolument savoureuse.

Les autres  acteurs et actrices ne sont pas en reste.

 

Les dialogues sont absolument savoureux.

L’histoire est sympa, crédible et donne un bon rythme au film.

 

Vous donner ici quelques répliques bien senties serait gâcher votre plaisir alors je ne le ferai pas.

Mais, attendez-vous à bien vous amuser…

 

Un film de filles pour les filles, mais pas interdit aux garçons…

 

Une mention spéciale pour  Lola Dewaere , la fille de son père, que je ne connaissais pas et qui crève littéralement l’écran par sa beauté et son naturel.

 

 


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15 avril 2012 7 15 /04 /avril /2012 20:01

 

 

 

 

messagefemmevoilegibran-.jpg

 

 

clicagranditartnouveau

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15 avril 2012 7 15 /04 /avril /2012 13:22

 

 

 

http://images.imagehotel.net/f6mbc0eq6v.png

 

http://images.imagehotel.net/f6mbc0eq6v.png

Si je ne fais pas partie de cette élite assujettie aux impôts sur la grande fortune, je n’ai cependant jamais connu ni la misère, ni la faim.

Je fais partie de ces nombreux Français de bonnes classes moyennes qui payent des impôts, qui ont une couverture sociale.

Ce petit préambule me permet de vous conduire dans un monde que je connaissais, comme tout le monde, sans l’avoir jamais approché de très près, Celui des pauvres, des détenteurs de la CMU, des surnommés très souvent assistés, des hommes, femmes, enfants en grande précarité …

Il importe peu de savoir le pourquoi, le comment, il importe peu que les noms soient vrais ou faux, ce qui est d’importance, c’est que toutes les histoires que je vais vous raconter sont rigoureusement vraies.

 

Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de Sophie. Sophie a environ 36 ans. Elle vit en caravane sur un terrain municipal. Si elle a pu avoir des origines gitanes, elle ne fait pas partie des gens du voyage, elle n’a jamais voyagé, pas plus que son mari ou les personnes qui vivent sur ce terrain.

Sophie souffre d’épilepsie depuis l’âge de deux ans. Elle a été suivie dans un hôpital local pendant de très nombreuses années. Puis le service de neurologie a fermé et elle a cessé d’aller voir un spécialiste.

Elle est maintenant suivie par son médecin traitant qui de trimestres en semestres, de semestres en années, renouvelle son ordonnance sans jamais faire aucun dosage et sans jamais changer son traitement d’un iota.

Sophie étant dans l’incapacité de travailler, il lui est conseillé de faire une demande d’invalidité. Afin de remplir son dossier, la maison départementale des handicapés lui demande de fournir dans les trois mois, un certificat médical complet et un bilan neurologique établi par un spécialiste afin d’étudier sa demande.

Sophie est mariée, elle a trois enfants.

 Sophie, si elle possède un sens pratique dans la moyenne, et d’une intelligence assez faible. Son traitement n’améliore pas sa mémoire et ses capacités d’organisation.

La famille vit dans des conditions de grande précarité, touchant RSA et allocations familiales.

 

Alors qu’elle doit voir un neurologue, une assistante sociale puis une association d’entraide lui proposent de prendre rendez-vous. La première tentative se fait sur un hôpital public de sa région. Il faut plus de six mois pour obtenir un rendez-vous, ce qui la met hors délai pour fournir les pièces à la maison des handicapés. Un rendez-vous est donc pris chez un spécialiste dans un grand hôpital parisien. L’attente n’y est que d’un mois.

Le médecin de cet hôpital fait comprendre à Sophie, dès le début du rendez-vous, qu’il ne veut pas la suivre, invoquant le fait qu’il n’est pas dans son secteur géographique proche. Il remplira cependant les papiers nécessaires pour la demande d’invalidité.

Il fera remarquer lors de cet entretien que le traitement lui paraît totalement inapproprié, pourtant, lui non plus n’y apporte aucune correction.

Sophie, si elle peut prétendre à un dossier complet quant à sa demande d’invalidité, n’a toujours pas trouvé un neurologue qui accepte de la suivre.

 Il va s’ensuivre une sorte de marathon téléphonique où l’on va la renvoyer de neurologue privé à neurologue privé, certains refusant purement et simplement de recevoir une personne bénéficiaire de la CMU, d’autre allant jusqu’à exiger que le supplément d’honoraires soit payé ! Il n’est pas venu à l’idée de la charmante secrétaire qui lui a proposé ce supplément que si Sophie est bénéficiaire de la CMU, c’est pour la bonne  et triste raison qu’elle est pauvre. Il lui sera donc bien difficile et même impossible de payer des suppléments d’honoraires. Au bout d’un certain temps, un neurologue finit par accepter de la recevoir malgré la CMU. Le ton de la consultation est donné très rapidement, quasiment au premier coup d’œil du médecin envers Sophie. Nous voilà en face d’un neurologue qui ne prend pas en charge les épilepsies : motif officiel évoqué pour ne pas assurer le suivi de Sophie. Une amélioration est cependant à noter puisque Sophie repart avec une ordonnance pour six mois, et un dosage des produits qu’elle prend depuis des années sans aucune surveillance biologique. Cependant, son problème n’est pas résolu, toujours pas de suivi possible.

En désespoir de cause, rendez-vous est pris dans le premier hôpital public contacté, il lui faudra attendre plus de six mois.

 

Je vous raconte, aujourd’hui, cette histoire parce que je faisais partie de ces gens persuadés que dans notre pays il n’y a pas de médecine de riches. Or, si elle n’est pas censée exister d’après les textes, dans les faits, cette médecine existe. On peut reprocher aux pouvoirs publics d’avoir restreint les consultations, les urgences, les lits d’hospitalisation dans les hôpitaux publics. C’est une réalité que l’on ne peut pas nier. De ce fait, obtenir un rendez-vous en secteur public demande énormément de temps.

Pourtant, obtenir un rendez-vous en secteur privé n’est,  parfois, guère plus simple. Il faut savoir garder une certaine constance quand une secrétaire vous dit qu’il y a un supplément d’honoraires à payer puisqu’après tout il s’agit quand même d’un spécialiste !

 

Voici le premier épisode des tribulations médicales de Sophie et de sa famille !

Triste, n’est ce pas ?

Vous vous souvenez de ce fameux serment prêté par nos médecins ?

Bin, eux  visiblement l’ont oublié …. Lamentable …

 

 


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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 18:43

 

 

 

 

http://www.shanaweb.net/lafontaine/fables-j-j-granville/les-medecins.jpg

 

 

Ceux qui connaissent mon parcours savent que j’ai été infirmière à l’Assistance Publique, dans un hôpital parisien.

Nous étions, à l’époque, un service de pointe en matière de  chirurgie cardiaque infantile.

Ce préambule, je l’écris de façon à ce que les lecteurs comprennent que je suis un pur produit du service public et ayant travaillé dans un hôpital universitaire, j’ai certes été confrontée à quelques erreurs, mais j’ai surtout pu vivre au quotidien un hôpital public proposant des soins de très bonne qualité.

Je suis sans doute, du fait de cette carrière passée, devenue un peu plus difficile que le commun des mortels quant à la qualité des soins qui sont proposés et dispensés, et également sur l’accueil que l’on peut recevoir dans différentes structures médicales ou paramédicales.

 

Cet article est le premier d’une liste de quelques-uns traitant d’une médecine  qu’il me faudra bien qualifier de médecine de riches.

Jusqu’alors, je n’ai jamais réellement pris conscience que, dans ce pays, nous allions petit à petit, vers une médecine à deux vitesses.

Le problème est que les pouvoirs publics sont certes responsables de cet état de fait, mais, et cela est nettement plus grave, les médecins privés ainsi que les hôpitaux privés vont vers des déviances pour le moins inquiétantes.

 

Puisqu’il faut bien commencer par quelque chose, je vais aujourd’hui vous raconter une histoire toute fraîche.

Elle est de première main, puisqu’elle m’est arrivée personnellement il y a deux semaines.

Vous le savez, j’habite en région parisienne, en banlieue sud.

Je suis confrontée à un problème de diabète depuis environ un an. Les endocrinologues sont relativement peu nombreux. J’ai  été suivie par l’une d’entre elles pendant quelque temps pour un problème de thyroïde, mais il s’est avéré que cette dame focalisait bien plus sur ce qu’elle écrivait sur son ordinateur que sur ce que pouvait lui dire son patient. En deux mots comme en cent, je n’avais qu’une confiance très réduite.

J’en ai donc essayé une autre un peu plus éloignée géographiquement, qui au bout de 10 mois n’a pas réussi à équilibrer mon diabète.

Non pas que je souhaite exiger d’elle une obligation de résultat, mais force m’est de constater, que le problème fut réglé par un traitement approprié en 15 jours dans la clinique de « gros ».

Cette clinique se trouvant à plus d’une demi-heure de voiture de chez moi, je me suis dit qu’afin de faire simple, l’idéal serait d’aller à la diabétologue que je n’avais pas encore rencontrée à cinq minutes de chez moi.

Rendez-vous est pris (par un secrétariat extérieur au cabinet), le jour du rendez-vous la secrétaire est quasi dans l’incapacité de m’expliquer très exactement comment l’on se rend au cabinet. Et jusqu’à preuve du contraire, cette dame ne faisant pas partie des curiosités touristiques du coin, l’accès à son cabinet n’est pas mentionné sur mon GPS.

Après avoir enfin trouvé, je sonne à l’interphone, on me répond, on ouvre la porte. Je monte au premier étage, je sonne à la porte, j’entre dans la salle d’attente et m’y assoie.

Environ cinq minutes plus tard, une femme blonde d’une bonne quarantaine d’années me demande de rentrer dans son cabinet en m’interpellant ainsi :

-          il faut sonner à l’interphone si vous voulez que je vous ouvre

-          oui, je comprends, c’est d’ailleurs ce que j’ai fait

-          non, absolument pas, c’est faux, vous n’avez pas sonné

-          je suis désolée de vous contrarier Madame mais j’ai effectivement sonné…

-          Bon, l’interphone est encore en panne, conclut-elle sur un ton très agacé…

 Je vais pour m’asseoir sur une des deux chaises en face du bureau. Elle ne l’interdit d’un geste en me demandant de m’asseoir sur l’autre chaise se trouvant très exactement à 40 cm de l’autre sur la droite…. Ne me demandez pas pourquoi, je n’en ai strictement aucune idée…

 

Elle commence par m’interroger, nom, prénom, date de naissance, trois secondes plus tard mon âge ( ???), adresse, numéro de téléphone ,profession. Elle tilte immédiatement sur le mot invalidité qui semble ne pas lui convenir.

Je lui fait savoir qu’on m’a retiré un excédent au niveau de la thyroïde alors que j’avais 12 ans, elle me toise et me dit :

-          La thyroïde entière ou un lobe ?

-          A l’époque, on m’a dit que l’on ne m’avait enlevé que le strict nécessaire et il m’a toujours été dit que mes reliquats thyroïdiens étaient strictement normaux

-          Ça ne se passe pas comme ça,  me répond-elle plus que vertement

Devant le ton à la limite de l’agressivité qui est employé depuis le début de la consultation, je reste extrêmement dubitative. Mais je me contente, dans l’immédiat, de répondre le plus calmement possible aux diverses interrogations.

Elle a en main la lettre de mon médecin traitant. Je lui explique qu’il ne désire pas prendre ce diabète en charge car il est très loin (Orléans).

À partir de là que va suivre un dialogue totalement surréaliste, elle me regarde et me dit

-          Que les choses soient claires, je suis endocrinologue, je ne soigne pas les cors au pied

-          Je ne pense pas que qui que ce soit vous l’ai demandé, je viens vous voir pour un problème de diabète.

-          Je ne comprends pas que votre médecin traitant soit loin.

-          Je pense être tout à fait libre de choisir mon médecin traitant et jusqu’à preuve du contraire le fait qu’il soit éloigné de mon lieu d’habitation ne regarde que moi.

-          En tout cas, je le répète, je me soigne pas les cors au pied, je suis une spécialiste.

 Est-il utile, en l’état, de vous préciser que mon humeur, au vu du ton employé, tournait de plus en plus rouge ?

Ma réponse fut celle-ci :

-          Nous allons gagner du temps Mme, non seulement vous ne soignerez pas mes cors au pied, mais j’irai également soigner mon diabète ailleurs. Dites-moi combien je vous dois et restons-en là

-          95 euros me répond-elle

-          Pardon ?

-          95 euros

-          Et à ce prix-là on n’a même pas le droit à quelqu’un de courtois et poli ???

-          Mais, Madame, j’ai été tout à fait correcte

-          Avez-vous conscience du ton que vous employez avec moi depuis le début de ce RDV ?

-         

-          Il est vraiment préférable d’en rester là, sachez, cependant, que je n’ai jamais été aussi mal reçue par un médecin, et le tout pour 95 euros, dont, soit dit en passant, je n’ai pas été mise au courant lors de la prise de rendez-vous.

Je l’ai juste vu déchirer rageusement la lettre de mon médecin traitant avant de sortir …

Je vous rassure, le chèque, lui, a été encaissé ….

 

Je me suis retrouvée sur le trottoir, dans une colère noire.

Je ne peux pas comprendre qu’un médecin ayant prêté serment un jour puisse recevoir un patient de cette manière, nonobstant le tarif plus que substantiel.

 

Mes prochains articles traiteront d’un autre problème de la médecine actuelle.

C’est-à-dire la prise en charge des malades CMU dans des cabinets privés. Il est paraît-il de bon ton d’avertir la secrétaire du praticien que l’on est bénéficiaire du CMU en prenant rendez-vous. Les médecins par contre ne se sentent nullement obligés de faire connaître,  pour information, les tarifs qu’ils pratiquent lors de la prise de rendez-vous et se permettent donc de mettre leurs patients devant le fait accompli.

Que cette praticienne estime la qualité de son travail à 95 € le quart d’heure, pourquoi pas, mais, j’aimerais pouvoir librement accepter ce type d’honoraires en étant prévenue d’avance.

D’évidence, je n’aurais pas perdu mon temps à l’ennuyer, puisque j’aurais refusé de me rendre à  une consultation aussi onéreuse, non pas

Parce qu’elle engage mes deniers personnels, mais parce que j’estime que je n’ai pas à faire supporter à ma mutuelle,  qui me rembourse la totalité des frais (moyennant des cotisations sans cesse plus élevées),  des dépenses aussi excessives.

 

Ce genre de praticiens ne fait pas la gloire de sa profession.

 

 


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Un Peu De Moi

  • : dépressive utopiste: isabelle
  • : une dépressive redécouvrant le monde semaine après semaine ...Une humaniste qui revit. écrire pour vivre, vivre pour écrire .
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  • isabelle Cassou
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir
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Chatouillis méningés

 

 

 

 

 

  Je ne peux pas dire

qui je serai demain.

Chaque jour est neuf

et chaque jour je renais.
Paul Auster

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