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7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 10:00





bon, ok, l'image n'est pas terrible, mais ce qui compte, c'est le son ....

les ogres de barback ont accompagné mon après midi et soirée,
alors que je vous préparais les articles du mois d'aout



voici leur site officiel

http://www.lesogres.com/main.htm



vous me direz, moi j'adooore .....


demain un autre coup de coeur musical




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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 11:26






je sais qu'elle est de la famille des papillons
mais à ma grande honte, je n'ai pas retenu son nom !!!

vous savez vous ?



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5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 12:25








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4 août 2009 2 04 /08 /août /2009 11:55







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3 août 2009 1 03 /08 /août /2009 23:56









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3 août 2009 1 03 /08 /août /2009 11:32

















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2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 11:01






Là-haut
Comme vous le savez, j’aime le cinéma, et je confesse voire revendique avoir gardé, pour mon plus grand plaisir, mes yeux d’enfants…
 
Alors que j’écrivais, il y a très peu, sur un article de mon blog pote  Alain Julien Benitez

http://www.ledoigtdansloeilmarseille.com/
 
qu’il me faudrait éviter dorénavant Disney, puisque je me prenais pas à imaginer que ces prototypes de voitures futuristes seraient bien plus beaux avec des yeux bordés de cils et une jolie bouche ; je commettais le plus éhonté des mensonges.
 
Je vie ns de passer 2 heures ou à peu près en compagnie d’une maison volante, d’un délicieux papy bougon, d’un jeune garçon un brin empoté.
Ce furent 2 heures délicieuses, diablement rythmées, pleines du charme indescriptible, que Disney dispense depuis déjà si longtemps dans ses dessins animés.
 
J’ai eu beaucoup de difficultés au début du numérique à appréhender du regard des images un peu étonnantes à mi-chemin entre la réalité et le dessin. Le temps passant, je me suis habitué à ce nouveau concept plus ou moins informatisé et les dessinateurs nouvelle génération maîtrisent, semble-t-il, de mieux en mieux une technique qui s’affirme.
 
L’histoire est des plus charmantes et l’on se laisse bercer dès la première seconde dans ce qui pourrait être un conte de fées des temps modernes.
Les bons sentiments font plaisir à voir. Certains les trouveront quelque peu mièvres et gnangnan,
Pourtant, il y a peu de chance que la gentillesse, l’absence de violence, se révèle être néfaste pour nos enfants ….
 
Alors au diable les intellos branchés, au diable les «anti américanistes » patentés, j’ai adoré ces 2 heures  gentillettes et parfois émouvantes.
 
Si, comme moi, vous assumez votre part d’enfance, votre juvénilité, allez-y c’est du beau, du bon Disney….

certaines images sont sublimes, cette envolée de ballons est grandiose et merveilleusement touchante ....



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1 août 2009 6 01 /08 /août /2009 14:18





Inventaire de deux jours de vie …


Deux jours que je suis partie, en impromptu, vers le Pays basque ;
 
Lundi matin;  6 heures,
Paris vers  Biarritz,
Un train
Un enterrement,
Celui d’un homme encore bien trop jeune,
Qui laissera bien de la tristesse derrière lui
 
Une vie faite de labeur
Des amis,  la belle chaleur
D’une épouse, la douceur
Des enfants, la délicate saveur
Des petits-enfants, le divin bonheur
D’un vilain crabe, l’horreur
De la souffrance, la peur
De la mort, la vilaine odeur…
 
Tarnos, la Grande bleue
Une petite église
Les souvenirs d’une noce lointaine
Un jour de grande chaleur
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
Réunion d’une grande famille
Eparpillée
Cousins, cousines
Tantes et oncles
Frères et sœurs
Un cimetière étonnant
Des allées en colimaçon
Un jet d’eau
Tombeaux hors de terre
Un corps qu’on enterre
Sa maison
Joli jardin
Des pieds de tomates
Des fleurs
Une cuisine d’été
Une nappe en papier bleu
Un verre d’eau fraîche
Une petite fille aux yeux si tristes
Un sourire sur les temps passés
L’évocation des souvenirs
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
Le rire d’un enfant
Les larmes d’un autre qui crie maman
Le vent frais venant de la côte
Un ciel aux nuages pesants
Des nouvelles des uns
Des nouvelles des autres
Retour au passé
Evocation d’aujourd’hui
Etrange mélange
Tristesse et mélancolie
Sourires et tristesse
Emotion de se revoir
Avant de repartir encore
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
À bientôt ?
Dans 15 ans
Le prochain mariage
Le futur enterrement
Destins qui s’unissent
Et se désunissent
Destins de famille
Pas de rancœur
Sans contrecœur
Triste crève-cœur
La vie passe
Trop remplie
Trop rapide
Grands malheurs
Petits bonheurs
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
Cousin, cousine
Plus vus depuis longtemps
On se redécouvre
On se réapprend
On parle de nos vies
Espoir, joies
Obstacles, coups durs
Maladie, mort
Amour,
Enfants, petits-enfants
Petits malheurs
Grands tourments
Grand bonheur
Pour cœurs chantants
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
Un confit de canard
Un verre de bon vin
Un patio à la sévillane
Une douce nuit du bord de mer
La fraîcheur du soir qui monte
Une anisette espagnole
Quelques glaçons
Un verre qui tourne dans la main
Et les souvenirs
Les glaçons qui teintent
La douceur du temps jadis
Pas de nostalgie
Les glaçons fondent
Juste la mesure du temps qui passe
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
Deux, trois rires
Des regards qui pétillent
Évocation du cousin parti
Celle des lendemains
Lendemains enchanteurs
Puis deux,  trois bâillements
Sommeil
Journée lourde
Trop d’émotion
Introspection du passé
Rédaction du présent
Approximation de l’avenir
Juste dormir
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
Le soleil s’est levé
Encore quelques nuages
Un bon café
Un gâteau à l’anis
Confiture maison aux figues du jardin
Les oiseaux chantent
Le cousin joue
Une guitare sévillane au bois précieux
Deux mains agiles
10 doigts graciles
Cinq se contorsionnent sur les cordes
Et cinq virevoltent sur le corps de bois
Une voisine cesse d’arroser ses plantes
Elle écoute
Le cousin joue
Flamenco
Jeux interdits
Concert privé dans la douceur de l’été
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
Biarritz, la ville,
Palais- palace d’une impératrice, jadis
Plage aux parasols
Terrasse tournée vers le soleil
Les vagues roulent
L’écume habille  les flots
Falaise aux grands hôtels
Rocher de la vierge
Un air de vacances
Le golfe de Gascogne
L’océan bleu
Des bleus de lagons imaginaires
Quelques baigneurs
Des mouettes
Quelques plongeurs
Rinçage du Néoprène
Un pêcheur sur une chaise
Un enfant crie
Son père le sermonne
Petit port de pêche
Maisonnettes à volets
Bleus, rouges, verts
La mer est belle
l'Océan appelle…
 
17 ans ont passé
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu
 
Plus de temps
Le train dans 2 heures
Déjeuner à la plancha
Gâteau basque
Joli moulin du XVIIIe
Beauté de l’arrière-pays
Le départ
De sincères  merci
Deux jours hors du quotidien
Deux jours d’émotion
Deux jours dans la démesure du temps qui passe
Cartes de visite
« Si vous venez à Paris… »
Train, Paris.
 
17 ans sont passés
Les petits sont grands
Les grands sont presque vieux
Les yeux par trop brillants
Un paquet de Kleenex
Tristesse d’un Adieu

dans un TGV entre Biarritz et Paris
le 28 juillet 2009






photos prises sur le net

« Les toiles de Carlos Cobian, qui symbolisent à merveille la beauté et le chic éternel de Biarritz, sont appréciées et expédiées dans le monde entier », assure Jackie Page, directrice de la Galerie Page.





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31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 23:38






La louve et le renard




Un renard se promenait en forêt céans
Lors qu’une louve nichait, nonobstant
Froid glacial et lourde tempête de neige.
Le renard affamé, bien triste sortilège
Entrevit sa survie, si usant de sa ruse
Il réussissait en trouvant belle excuse
A distraire la louve s’oubliant mère
 Et assez avide pour exhausser ses prières.
Il tendit alors un piège savant et fort futé
Espérant la louve curieuse et sans acuité
Mais, en mère zélée, attentive et confirmée
Elle ignora superbement la feinte du renard affamé
Forte de science maternelle, elle opposa l’indifférence
Au stratagème du malin par trop dans l’impatience
Le renard s’en fut alors las et fort déconfit
Tandis que la louve n’en fit point fi
L’indifférence  conduit au repli
Lors que la ruse n’atteint jamais le mépris.



dans un TGV entre Paris et Biarritz
le 27 juillet 2009


poème inspiré par une blogpote:


http://unebonnenouvelleparjour.over-blog.com/



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30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 12:45






demain, je vous raconterai .....



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Un Peu De Moi

  • : dépressive utopiste: isabelle
  • : une dépressive redécouvrant le monde semaine après semaine ...Une humaniste qui revit. écrire pour vivre, vivre pour écrire .
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Profil

  • isabelle Cassou
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir

 

 

 

 

bricabracBLEU13.png

 

Chatouillis méningés

 

 

 

 

 

  Je ne peux pas dire

qui je serai demain.

Chaque jour est neuf

et chaque jour je renais.
Paul Auster

Les Vintages

En Musique ...

je grandis